Mise en ligne 10/01/2025
Proposé par Atmo Auvergne-Rhône-Alpes
À pied ou en vélo, j’adapte mon trajet lors des épisodes de pollution
Pourquoi ?
A vélo, lors d’un pic de pollution, je suis particulièrement exposé en raison d’une respiration plus intense, qui multiplie par 2 à 4 le volume d’air que j’inhale par rapport à une activité au repos.
Cette respiration accrue, combinée à la proximité avec les pots d’échappement sur les routes principales, augmente l’inhalation de particules fines et de gaz nocifs, notamment dans le trafic dense.
Comment ?
- A vélo, pour limiter les risques, j'adapte mon trajet afin d’emprunter des pistes cyclables éloignées du trafic et de modérer mon l’effort physique pour réduire l’inhalation de polluants.
- A pied, j'emprunte les voies piétonnes ou les rues moins encombrées par le trafic
Si des symptômes apparaissent (toux, essoufflement, douleurs thoraciques), je consulte immédiatement un professionnel de santé.
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Gain climat
Émissions évitées au regard du nombre de participants à l’action.
Valeur(s) exprimée(s) en équivalent CO₂
Gain air
Émissions évitées au regard du nombre de participants à l’action.
Gain énergie
Consommations d'énergie évitées au regard du nombre de participants à l’action.
Gain climat
Émissions évitées par habitant.
Valeur(s) exprimée(s) en équivalent CO₂
Gain air
Émissions évitées par habitant.
Gain énergie
Consommations d'énergie évitées par habitant.
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